Cette semaine, le p.-d.g. d’Hydro-Québec, Michael Sabia, a critiqué à mots couverts l’importante attribution d’électricité à de « nouvelles entreprises » par le gouvernement Legault. Depuis que le ministère choisit les projets qui bénéficient de plus 5 mégawatts, qui sont les heureux élus ? "L’expression « miroir aux alouettes » désigne métaphoriquement un piège, une illusion ou une tromperie : quelque chose qui semble séduisant, mais qui s’avère finalement trompeur, malhonnête ou dangereux."
(Québec) Incapables d’obtenir des blocs d’énergie pour électrifier leurs usines, de grandes entreprises québécoises ont plutôt choisi d’investir aux États-Unis. L’organisation qui les représente demande à Québec de privilégier, à l’avenir, les sociétés d’ici.
Il est possible de protéger l’environnement sans pénaliser l’économie, mais pas sans changements dans les politiques et les investissements, selon un rapport publié en juin par la Banque mondiale en collaboration avec Natural Capital Project, un regroupement de plusieurs organisations, dont l’Université de Stanford et l’Université du Minnesota, aux États-Unis.
https://mcusercontent.com/32fb30749bbaf74a656ae7267/files/883d8259-b534-7d3b-69f3-17212aab2a25/int_construire_economie_postcapitaliste.pdf
"Cette année, le thème central du 8e Forum économique de la relève d'affaires est « 2030 : chargement en cours ». Ce titre est porteur de la volonté du Regroupement d'être un vecteur de réflexions sur les pratiques et stratégies à adopter pour que le Québec soit à l’avant-garde, qu’il maintienne sa croissance à une bonne vitesse de croisière et qu’il demeure compétitif à l’échelle internationale."
*L’économie verte est une approche pour mettre en œuvre le développement durable (ISQ, 2020). C’est une économie qui entraîne une amélioration du bien-être humain et de l’équité sociale tout en réduisant de manière significative les risques environnementaux et la pénurie des ressources (PNUE, 2011 et MELCC, 2022).
Le Plan pour une économie verte 2030 guide l’action du gouvernement pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et s'adapter aux changements climatiques au cours de la présente décennie.
L’aménagement des secteurs industriels est amené à se transformer pour correspondre davantage aux enjeux et aux besoins de la société actuelle et future. La zone industrielle durable, résiliente et attractive doit donc être plus qu’un pôle d’emploi, mais bien un milieu de vie connecté à son environnement et s’intégrant dans la communauté.
L’étude Freins et leviers à l’implantation des infrastructures végétalisées dans les zones industrielles montréalaises : caractérisation, priorisation et recommandations, qui s’intègre dans le cadre de la démarche Zone industrielle durable (ZID), représente une étape essentielle pour comprendre comment favoriser l’intégration d’infrastructures végétalisées dans l’aménagement des zones industrielles montréalaises.
Avec la croissance rapide de la population mondiale et de l'urbanisation, il est essentiel de miser sur la construction circulaire pour bâtir le progrès et l'avenir pour l'humanité et la planète.
L’élan de l’économie s’est déplacé vers l’agglomération de Longueuil et les couronnes Sud et Nord : L’emploi a fait une pause dans l’agglomération de Montréal, alors que le plafonnement des services du savoir et le recul du manufacturier contrebalançaient la reprise des services à la consommation. L’emploi s’est essoufflé à Laval, demeurant inférieur au sommet qu’il avait atteint au deuxième trimestre de 2018. L’agglomération de Longueuil a connu une expansion soutenue, alors que de nouveaux complexes immobiliers aux abords des noyaux de transport attirent fournisseurs de soins de santé et services professionnels. Dans la couronne Nord, le marché du travail est demeuré tendu malgré les mises à pied dans l’aérospatiale. La couronne Sud a bénéficié d’une expansion généralisée, accentuée par l’expansion accélérée du transport et de l’entreposage qui perdure depuis l’achèvement de l’autoroute 30.
Dirigée par le professeur Jérôme Dupras, la Chaire de recherche du Canada en économie écologique est rattachée au Laboratoire d’économie écologique, situé à l’Institut des Sciences de la Forêt tempérée, de l’Université du Québec en Outaouais. Elle est constituée d’une vaste équipe de chercheurs et d’étudiants gradués, qui a pour objectif de mieux comprendre et de mesurer la contribution de la biodiversité et des écosystèmes au bien-être humain.
L’image d’un parc industriel est traditionnellement peu attirante, des rues et des bâtisses souvent sans âme. Drummondville veut changer la donne et construire un écoparc industriel. Le projet, dont la première pelletée de terre est prévue en 2026, se veut un milieu de vie dynamique pour ses usagers, où nature et industrie cohabiteront
Cet article intitulé 'Le 24 février - Oublier les «start-up», miser sur les «smart-up»' explore l'importance de repenser la manière dont nous valorisons les jeunes entreprises. Il suggère un changement de paradigme, passant des start-ups axées uniquement sur la croissance rapide à des 'smart-ups' qui allient intelligence stratégique, durabilité et innovation responsable.
L'article du 26 février 2024 discute comment l'entreprise Northvolt, spécialisée dans la production de batteries électriques, pourrait bénéficier à l'économie québécoise grâce à ses investissements et collaborations technologiques.
En novembre dernier, le ministre des Finances a réitéré son objectif d’éliminer, d’ici 2036, l’écart de richesse entre le Québec et l’Ontario, estimé à 14 % du PIB par habitant·e·s. L’étude publiée aujourd’hui montre pourtant qu’à structure industrielle égale, le PIB par heure travaillée a augmenté plus rapidement entre 1997 et 2020, et sera désormais plus élevé au Québec qu’en Ontario.
La microbrasserie des Îles-de-la-Madeleine À l’abri de la tempête évite la fermeture en concluant une entente avec la Coopérative de transport maritime et aérien (CTMA), qui fait l’acquisition de son bâtiment.
Face à l’ampleur des bouleversements écologiques, la question n’est plus de savoir si nous nous dirigeons vers une société profondément différente, mais si cette transition sera entièrement subie, ou au moins partiellement choisie. Ce projet engage la communauté universitaire au côté des autres forces vives de la société. Ensemble, nous traçons les chemins les plus porteurs pour assurer un futur souhaitable au Québec.
Bien souvent, lorsqu’un investisseur envisage de se tourner vers l’investissement responsable, l’une des premières questions qu’il se pose est de savoir combien cela pourrait lui coûter. En d’autres mots, quel rendement est-ce qu’on laisse sur la table quand on décide d’investir responsablement?
En 1972 sort un ouvrage qui va ouvrir une nouvelle ère de la pensée politico-économique. Son titre : «Halte à la croissance ?». En fait, il s’agit de la traduction d’un livre dont la version originale en anglais s’intitule : «The Limits to growth».
Recyc-Québec estime que la province doit sortir de son modèle de production de type « extraction-consommation-élimination », dommageable pour l’environnement. En réduisant le recours aux matières premières et en réutilisant les produits consommés, Québec pourrait réduire jusqu’à 45 % de ses émissions de gaz à effet de serre (GES), selon sa plus récente analyse.
Le géant québécois de légumes frais Vegpro, passé sous contrôle américain il y a deux ans, n’arrive pas à obtenir ses 4,5 mégawatts pour son projet de serres à Saint-Patrice-de-Sherrington, a constaté Le Journal.
Le duo improbable d’une anthropologue de gauche (Isabelle Thibeault) et d’un professeur de marketing de droite (Jacques Nantel) unit son expertise pour alerter sur la non-soutenabilité de la société de consommation actuelle, et esquisser des voies de sortie – hors de la culture de l’endettement.