« C’est urgent de réaliser le projet Contrecoeur, a plaidé Julie Gascon. C’est critique pour la souveraineté économique du pays, pour notre indépendance économique, pour s’assurer que nos denrées entrent et sortent par nos ports canadiens. Avec [Contrecoeur], nos entreprises n’auront pas à se retourner vers des ports qui dépendent de l’Est américain. »
Après des années de tractations et d’évaluations environnementales, le Port de Montréal dit être prêt à amorcer les travaux de la portion maritime des installations dès l’automne prochain, en partenariat avec les firmes Pomerleau et Aecon.
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